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Albertine en cinq temps
L'Opéra

Visuel Horizontal.Albertine.2023
  • Catégorie : Musique
  • Public : Tout public
  • Durée : À venir

Information

Tarification

  • Régulier
    55 $
  • Membre privilège
    49 $
  • Carte agathoise*
    49 $
  • Étudiant**
    25 $
*

La carte agathoise vous sera demandée à l'entrée de la salle.

**

Quantité limitée. Une carte étudiante vous sera demandée à l'entrée de la salle.

«C’est un hommage à tout ce que les femmes ont fait depuis des décennies pour trouver leur place. C’est une ode au courage des femmes qui, malgré des moments très noirs, nous donnent espoir en la vie.» Extrait de conversations personnelles avec l’auteur, Michel Tremblay.

Albertine en cinq temps – L’opéra, d’après la pièce éponyme de Michel Tremblay, mise en musique et orchestrée par Catherine Major sur un livret du Collectif de la Lune Rouge. Un grand projet de femmes, un croisement du théâtre et de l’opéra accessible aux étudiants du secondaire, collégial, universitaire et au grand public. Une création dans l’air du temps!

Créé en 1984, la pièce de théâtre Albertine en cinq temps de Michel Tremblay met en scène une femme de 70 ans qui, dans la chambre d’un CHSLD, ressasse ses souvenirs à différentes étapes de sa vie. À 30 ans, Albertine se doute déjà que l’immensité du ciel n’arrivera jamais à contenir sa rage de vivre. Le personnage d’Albertine, au fil du temps, représente l’archétype de la mère québécoise et catholique, du milieu ouvrier d’avant la révolution tranquille. Ce premier opéra en joual célébrera par le même fait les 80 ans du grand auteur et dramaturge Michel Tremblay. Six chanteuses et 5 musiciennes donneront vie à la création de cette musique envoûtante de Catherine Major sur le livret du Collectif de la Lune Rouge.

Car nous sommes toutes Albertine.

Distribution:
Albertine à 70 ans: Chantal Lambert, soprano
Albertine à 60 ans: Monique Pagé, soprano
Albertine à 50 ans: Chantal Dionne, soprano
Albertine à 40 ans: Florence Bourget, mezzo-soprano
Albertine à 30 ans: Catherine St-Arnaud, soprano
Madeleine: Marianne Lambert, soprano
Piano: Marie-Claude Roy
Violon: Mélanie Vaugeois
Cor anglais: Élise Poulin
Violoncelle: Annie Gadbois
Contrebasse: Anaïs Vigeant

Ce que les critiques disent : 

« C’est magnifique, c’est très riche comme son, très enveloppant, on a les voix vraiment magnifiques des Albertines […] et le tout crée quelque chose de très accessible! »
– Eugénie Lépine-Blondeau, ICI PREMIÈRE

« Réjouissant! Tout réside dans la force des interprètes qui sont excellentes! »
– Catherine Brisson, 98,5 FM

« C’est magnifique! Les pièces, les chansons, la musique de Catherine Major… j’ai pleuré à chaudes larmes! On y va! »
– Pénélope McQuade, ICI PREMIÈRE

« […] la charge de l’œuvre qui est toujours aussi puissante : le destin de la mère de Thérèse et de Marcel, enfermée dans un carcan social, étouffée par la rage, incapable de communiquer, de pleurer ou d’aimer, et qui, à 70 ans, se retrouve seule à contempler le vide dans une chambre « qui sent pas bon », reste un des plus bouleversants de la dramaturgie québécoise. »
– Josée Lapointe, La Presse

« Assurément, la qualité musicale et l’intelligente complémentarité des voix donnent envie de voir le spectacle qui tournera au Québec au cours de l’année 2023. Albertine parée de cette poignante musique et portée par des interprètes si dévoués est une priorité […]. »
– Christophe Huss, Le Devoir

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