Brahms, ce compositeur à l’apparence sérieuse et à la grosse barbe, considéré comme étant un « messie musical cosmoplanétaire » par les plus puristes, nous a légué un répertoire d’une beauté infinie, dont certaines des plus profondes pages ont été inspirées par son amour pour l’épouse de son mentor… Cet amour complexe, interdit et charnel, reflète à la fois la puissance des sentiments les plus humains et la liberté spirituelle d’artistes d’une époque que l’on considère déjà comme lointaine.

C’est donc cette passion et certaines de ces sensations que les musiciens de l’Orchestre Philharmonique du Québec et Alexandre Da Costa tenteront de vous transmettre. Et comme rien n’est jamais banal avec Alexandre, il vous propose des relectures de ses œuvres préférées de Brahms, dans ses arrangements personnels et non conventionnels : petit devient grand, grand devient petit! En première mondiale, la Sonate no. 3 pour piano et violon en version symphonique, et la Symphonie no. 1 en version intime, suivis des Danses hongroises, les plus grands « hits » de Brahms en versions explosées!